Interview de Marcel Jacob suite à la mort de Bernard Laroche
By Dana
Journaliste : Marcel Jacob, vous avez des déclarations à nous donner ?
Marcel Jacob : Oui, euh... Marie-Ange, vendredi, à 13 h 15 à peu près, elle m'a téléphoné. C'est ma fille qui a décroché. Elle a dit : "Venez vite ! On a tiré sur Bernard !" Je suis arrivé, Bernard il gisait dans le sous-sol. Il bougeait, il bougeait, je le retenais mais c'était, hélas, fini, quoi.
Journaliste : Vous n'avez rien remarqué dans les parages ?
Non, non, rien. Il y avait plus ri... 'Fin... il était reparti, déjà, mais moi je l'ai pas vu, hein, personnellement. Et là, j'ai trouvé un réveil au-dessus du talus. Il y avait un... Je suis monté dans le talus pour regarder, comme ça, et y avait un réveil, tout de suite, là, et des traces de voitures sur l'autre côté. Au moins deux voitures. On voit deux voitu––
Journaliste : Deux voitures, vous êtes formel ?
Marcel Jacob : Je pense que y avait deux voitures, vu les traces.
Journaliste : Donc, ce qui voudrait dire que Jean-Marie Villemin n'était pas seul ?
Marcel Jacob : Ça je peux pas vous dire, je l'ai pas vu mais on voit plusieurs traces, hein. Sûr !
Journaliste : Vous avez révélez ça à...?
Marcel Jacob : Ben la PJ, moi aussi je leur ai dit que y avait un autre chemin. Ils sont venus voir hier matin. Ils ont relevé...
Journaliste : Et pourquoi le réveil ?
Marcel Jacob : Un réveil, alors je peux pas vous dire, hein. Y avait un réveil là, dans le talus, tout près. Et c'est la RCPJ qui l'a pris, hein.
Journaliste : Merci.
HISTORIQUE
2024-10-13 16:25:25 - Dana:
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2024-10-13 16:24:48 - Dana:
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