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DERNIÈRE MISE À JOUR
2024-10-05 16:12:20
VERSION DE LA PAGE
Version 1
BIOGRAPHIE
ANECDOTES
- À la fin de l'année 1985 les époux CONREAUX avaient acheté à Jean-Marie et à Christine VILLEMIN leur maison de LEPANGES-sur-VOLOGNE. Ils s'y étaient installés d'abord pour de brefs séjours puis, au mois de mars 1987, à demeure et ils avaient noué de bonnes relations avec leurs voisins.
- A l'occasion d'un litige l'opposant aux locataires d'une auberge dont elle était propriétaire dans le Haut-Rhin, Madame CONREAUX fut amenée, le 26 octobre 1990, à consulter Maître MOSER, avocat à MULHOUSE, qui était aussi l'un des conseils des époux Jean-Marie VILLEMIN. A l'issue de cette entrevue la conversation s'engagea sur l'assassinat de Grégory VILLEMIN et Madame CONREAUX demanda à son interlocuteur si Madame CLAUDON avait enfin dit ce qu'elle savait. Elle fit alors état de confidences qu'elle avait reçues de cette voisine et accepta d'en signer sur le champ une relation écrite qui fut aussitôt transmise au président de cette chambre par Maître MOSER.
- Entendue le 31 octobre 1990 par la gendarmerie sous la foi du serment, Madame CONREAUX raconta qu'au mois de juillet 1986 Madame Marcelle DROUOT épouse CLAUDON lui avait révélé que le jour de l'enlèvement de l'enfant, en fin d'après-midi, elle était passée devant la maison des époux Jean-Marie VILLEMIN pour se rendre dans une pâture située en dessous de celle-ci. Au cours du trajet effectué à bord d'une automobile GOLF blanche conduite par son ami Claude COLIN, contrôleur des lignes d'autobus de la Société des transports automobiles des Hautes Vosges dite STAHV, employeur de son fils Christian CLAUDON, elle avait croisé une voiture verte conduite par Bernard LAROCHE accompagné d'une autre personne. Afin de ne pas créer d'ennui à Monsieur COLIN qui désirait garder secrète sa présence à LEPANGES ce jour-là, elle avait laissé croire que c'était son mari Jean-Louis CLAUDON qui l'avait menée à sa pâture au volant de leur voiture MEHARI. Madame CLAUDON lui avait expliqué son silence par des menaces d'incendie de sa maison qu'elle avait reçues après le crime.
- Madame CONREAUX avait fait part à sa voisine Marie-Noëlle REMY épouse ROLLOT et à la fille de celle- ci Séverine ROLLOT des confidences de Madame CLAUDON et ces trois femmes avaient envisagé, ainsi qu'elle le confirmèrent, de porter cette information à la connaissance de Monsieur le Président SIMON au moyen d'une lettre anonyme que Séverine ROLLOT devait dactylographier, mais ayant cru que Monsieur SIMON savait la vérité, elles avaient finalement renoncé à leur projet.
COMPORTEMENTS SUSPECTS
Aucun comportement suspect.
CITATIONS
HISTORIQUE
2024-10-05 16:12:20 -
Dana:
Nouveau témoignage.
2024-10-05 15:05:36 -
Dana:
Nouveau protagoniste.