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Interview de Marcel Jacob et Jacqueline Jacob par Michel Mary

Le Conseil constitutionnel juge la garde à vue de Murielle Bolle de 1984 inconstitutionnelle Interview de Marcel Jacob et sa femme Jacqueline Jacob sur BFMTV
Interview de Marcel Jacob et Jacqueline Jacob par Michel Mary

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Dana

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2024-10-20 17:47:26

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Jeudi 28 janvier 2021, 00 h 00

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Interview de Marcel Jacob et Jacqueline Jacob par Michel Mary
By Dana



Les questions sont séparées par un interligne pour une meilleure lecture, mais l'interview est scrupuleusement retranscrite dans son intégralité.

Michel Mary : Alors on va peut-être parler des charges qui pèsent sur vous. Vous, Jacqueline, vous êtes revenue à la maison début 1991. Vous auriez déclaré à plusieurs témoins : « Je n'ai pas le choix, il me tient. » Qu'est-ce que vous vouliez dire par-là ? Est-ce que vous l'avez dit, d'abord ?
Jacqueline Jacob : Non, jamais je n'ai dit ça.
Michel : Vous ne l'avez pas dit ?
Jacqueline : Non, jamais !
Michel : Donc, d'accord... Donc y a plus de question !
(Michel, Jacqueline et Marcel rient.)

Michel : Le dossier montre des relations tendues avec Albert Villemin par le passé, évidemment. Vous (il s'adresse à Marcel), je crois, vous l'avez empoigné.
Marcel : Oui ! (en riant).
Michel : Est-ce que vous pouvez nous expliquer un peu ce qui s'est... en deux mots ?
Marcel : Pour l'empoignade ?
Michel : Oui.
Marcel : C'était deux fois rien. Il s'était di... J'étais chez mes parents, il s'était disputé avec mon père. Et puis je sais plus ce qu'il lui a dit. Oh, j'ai dit : « He, Bébert, hé. » Et puis j'ai pris un peu comme ça, parce que... Pis c'est tout, ça s'est arrêté là.
Michel : D'accord, donc on a exagéré cette empoignade...
Marcel : Mais oui !! J'ai attrapé... mais...

Michel : Alors Albert aurait déclaré ou avait déclaré que vous lui reprochiez son passé familial, vous savez, cette histoire avec sa mère meurtrière, le père pendu, est-ce que c'est vrai ?
Marcel : Mais j'étais même pas au courant moi du temps, je le savais pas. J'ai appris ça, quoi... machinalement, comme ça. Je savais même pas !
Michel : En même temps, bon, c'était quand même un peu... J'ai l'impression que tout le monde le savait dans le village, non ?
Marcel : Ah ben je ne pense pas. J'entendais pas trop parler. Non, non, non, bah non, non.
Jacqueline : Non. Non !

Michel : Est-ce que, par rapport à la promotion de Jean-Marie Villemin en 1981, on dit que vous seriez allé vérifié auprès d'un de vos amis, parce que cette promotion vous surprenait.
Marcel : Absolument faux.
Michel : C'est faux aussi.
Marcel : Alors là je n'ai jamais... oh...

Michel : Bon alors là, Jacqueline, vous, donc, qui auriez traité Jean-Marie de saleté de Villemin.
Jacqueline : Ah non, c'est pas vrai.
Michel : C'est pas vrai non plus ?
Jacqueline : Non plus, non.
Michel : Bon.
Jacqueline : Non, non.
Marcel : Non mais !
Michel : C'est ce qui a été dit, hein, on est d'accord. Après, moi, je vous pose les questions, c'est bien que vous puissiez y répondre, hein. Je suis pas policier, vous êtes pas en garde à vue.

Michel : Depuis ce soir-là, vous êtes le seul, jusqu'à preuve du contraire, à être entré en conflit physiquement avec Jean-Marie, mais comme vous me dites que ça n'a pas existé, cette question, il y a une histoire : vous lui auriez promis de lui éclater les couilles, ça aussi...
Marcel : Éclater les couilles ?
Michel : Oui... non, vous l'auriez pas fait, mais vous l'auriez dit : « Je vais t'éclater les couilles. »
Marcel : Ah ça c'est du n'importe quoi.
Michel : Alors cet épisode penche épisode avec les déclarations ultérieures de votre femme, donc de Jacqueline, qui dira n'avoir connaissance d'aucun conflit, donc c'est ce que vous venez de me dire, n'avoir jamais assisté à une altercation entre vous et les Villemin. Elle dira même : « Les Villemin sont des gens très bien. » Vous avez dit ça en audition chez le juge Martin en 1991.
Jacqueline : Je suis jamais chez le juge Martin.
Michel : Ah bon ?
Jacqueline : Non.
Michel : Bon. Enfin, en tout cas, ça confirme ce que vous venez de me dire à l'instant, c'est-à-dire que l'altercation n'a pas existé. Donc passons sur le juge.

Michel : Quels sont vos rapports avec les Villemin aujourd'hui.
Marcel : Ben les Villemin, mon beau-frère il est en maison de retraite, je le vois plus. Et puis ma sœur est décédée.
Michel : Mais après la disparition de Grégory, vous avez continué à les voir ?
Marcel : Oh, mon frère... mon... ma sœur et mon beau-frère ? Ils venaient manger chez nous, on faisait des barbec' ensemble et tout. On sortait... au nouvel an, c'est nous qui les emmenions partout. Même au mois d'avril 2017, ça m'est revenu, j'ai même emmené mon beau-frère voir ma sœur à l'hôpital à Gerardmer.
Michel : Oui, donc les relations, vous les qualifieriez de comment ces relations entre les parents de Jean-Marie et vous et votre couple ?
Marcel : Les parents... c'est-à-dire mon beau-frère et ma sœur ?
Michel : Oui, Albert et Monique.
Marcel : C'était bien.
Jacqueline : Ben oui.
Michel : Toujours... enfin, avec des hauts et des bas, sûrement.
Marcel : Oui ! Mais depuis...
Jacqueline : Ah non.
Marcel : Ah non, même pas. Oui, depuis le coup de l'altercation, mais... toujours été impeccable.
Jacqueline : Après euh...
Marcel : Ils venaient chez nous, on venait boire l'apéro ensemble.
Jacqueline : On faisait les réveillons ensemble. On les amenait tout le temps.
Je les amenais partout...
Michel : D'accord.
Marcel : ... mon frère, ma sœur.
Michel : Alors là, Monsieur Jacob, votre fille dit que vous regardiez souvent la vallée avec des jumelles. Est-ce que c'est vrai, d'abord. Et si oui, qu'est-ce que vous regardiez ?
Marcel : J'avais des jumelles, mais je regardais en bas de chez moi, parce qu'il venait toujours des chevreuils. Voilà, je regardais ça. Et j'avais des jumelles pour ça. Ou bien quand j'allais me promener seul sur les crêtes, je les prenais parce qu'on voyait des bêtes. Ou j'allais voir les courses cyclistes parce que j'aime bien le vélo. Et voilà pourquoi j'avais des jumelles.
Michel : Alors votre fille dit aussi que le soir de la disparition de Grégory, vous l'avez appelée depuis l'usine pour avoir des nouvelles de l'enquête. Le soir-même de la disparition de Grégory, c'est...
Marcel : Oh, j'étais sûrement à l'usine si elle dit ça, mais je l'ai jamais appelé. (Il rit.) Ah, non.
Michel : Et quels sont vos rapports avec votre fille, aujourd'hui ?
Marcel : Depuis, on ne la voit plus.
Michel : Et pourquoi vous pensez qu'elle dit tout ça ?
Marcel : Je sais pas, parce que...
Michel : Vous en avez jamais parlé ? Vous lui avez pas demandé pourquoi elle prenait cette position ?
Ah non parce qu'on la pas revue depuis.
Oui mais enfin au moment où vous vous êtes fâchés, vous auriez pu avoir une explication avec elle, non ?
Non, rien.
Jacqueline : T'as été chez elle.
Marcel : Comment... chez elle ?
Jacqueline : Ben quand je suis partie.
Marcel : Ah quand ma f... t'étais partie, tu dis ? Ah ben j'ai été un coup chez ma fille, oui, oui. On mangeait ensemble.
Michel : Non mais depuis qu'elle a fait ces déclarations, apparemment vous êtes fâchés. Depuis qu'elle a dit à la gendarmerie ou au juge que vous regardiez avec les jumelles, que vous avez appelé le soir pour avoir des nouvelles de l'enquête.
Jacqueline : C'est faux.
Marcel : Ça, c'est faux.
Michel : Je sais que c'est ce que vous m'avez dit, j'ai entendu que c'est faux.
Marcel : Oui !
Michel : Enfin, j'ai entendu votre réponse. Mais est-ce que depuis vous avez eu une explication avec votre fille.
Marcel : Depuis, non.
(Leur avocat intervient.)
Avocat : Je me permets... En fait, ils ne se sont pas fâchés à cause de ça.
Marcel : Non, non !
Avocat : Ils étaient fâchés d'avant.
Marcel : Ah, c'est pas à cause de ça, hein !
Avocat : Je pense qu'il y a une petite méprise.
(L'interview est coupée puis reprend.)
Avocat : Quand Jacqueline est revenue et que Marcel l'a reprise, la gamine s'est fâchée contre ses parents. Contre sa mère puisqu'elle était partie et revenue et contre son père parce qu'il l'avait reprise, sa mère. Donc ils se sont fâchés. Depuis, ils se parlent plus. Et ils se parlaient déjà plus depuis un certain temps...
Marcel : Ah oui !!
Avocat : ... quand elle a été faire une déclaration contre eux.

Michel : Plusieurs employés de la filature, de votre filature, où vous travailliez, déclarent qu'il était possible de s'absenter en douce. Qu-est ce que vous avez à nous dire là-dessus ?
Marcel : Impossible.
Jacqueline : Non, impossible.
Michel : Impossible ?
Jacqueline : Ouais, impossible.
Marcel : Ah là là ! Au sortie, y avait une porte... y avait une conciergerie, y avait une femme qui était là. Si vous vouliez sortir, il fallait le bon d'un contremaître. Il fallait que ça soit vraiment... Ah non, oh là ! Ça rigolait pas, hein. Fallait sonner à une petite porte pour rentrer et tout, hein. Ah non alors là, ça rigolait pas du tout, hein.
(L'interview est coupée puis reprend.)
Jacqueline : Quand on est allés à la réunion, on a eu une réunion à 14 h 30.
Marcel : Le 16.
Jacqueline : Alors j'ai dit au contremaître, j'ai signalé que j'allais à la réunion. Alors il m'a dit oui, parce qu'il a mis quelqu'un pour me remplacer sur les machines. Autrement je peux pas laisser les machines comme ça, sans surveillance. Et alors je suis passée à la conciergerie, j'ai donné... j'ai dit que j'allais à la réunion. Et en revenant, j'ai dit que j'étais revenue au contremaître aussi. Pour qu'il a enlevé les enlevé les personnes qui nous remplaçait. Les personnes-là elles faisaient la "barbe" (à vérifier), enfin...
Marcel : Oui, oui, oui, les deux personnes qui faisaient ça.

Michel : On retrouve, en perquisition j'imagine, un procès verbal de réunion de délégué du personnel le jour du 16 octobre 1984. Pourquoi l'avoir gardé comme ça ? Pourquoi celui là en fait ?
Marcel : Ben, je l'ai eu peut-être 15 jours après, parce qu'ils les donnaient pas tout de suite, les contre-rendus. Et puis je me suis dit : "Ho !", ça je le mets de côté parce qu'on avait été appelés... on avait été appelés comment... par le juge Simon, je crois.
Michel : Ah, ben non, en 84 c'étais le juge Lambert.
Jacqueline : T'as pas été.
Marcel : Non, j'ai pas été à Lambert, moi. Non. Non mais j'avais gardé ça, j'y dit : "Tiens !" Parce qu'on entendait toujours parler de l'affaire. Je me suis dit je le mets de côté. J'avais des contre-rendus tous les mois, puisque j'étais délégué. Je les gardais tous, hein. Y a pas que celui-là, hein. Je les gardais tous.
Jacqueline : Puisqu'on était les deux délégués.
Marcel : On était les deux délégués, on avait les mêmes contre-rendus, hein.
Jacqueline : On avait chacun un contre-rendu.

Michel (à Marcel) : Pourquoi avoir écrit et gardé une lettre adressée à votre sœur disant : "Je suis innocent à cent pour cent. Si tu ne me crois pas, ma vie n'a plus de sens." Elle vous soupçonnait ? Pourquoi vous avez écrit ça ?
Marcel : Pas du tout, j'avais écrit ça pour rassurer toute ma famille. Parce que je voyais... c'est bizarre, j'avais été appelé au un juge... après on a été appelé à la gendarmerie à Corcieux et tout ça. J'ai dit ça c'est pas clair. J'ai envoyé un mot à ma sœur parce que ma sœur, c'était... J'avais plus qu'elle comme sœur, c'était ma grande sœur. Ben voilà. C'est pour ça que j'ai fait une lettre. Je me souviens très bien. Ils l'ont même, je sais pas, retrouvée au sous-sol.

Michel : On a retrouvé également toutes les coupures de presse du procès de Jean-Marie Villemin en 1993. Vous avez pas assisté au procès, il me semble ?
Marcel : Non.
Michel : Pourquoi cet intérêt pour ces coupures de presse ?
Marcel : Parce que dans la famille, y (en) avait qui le lisait et pis ils me disaient : "Tiens, Marcel, tu le veux ?" Et pis ils me le donnaient. Voilà.
Michel : Vous achetez le journal quand même, non ?
Marcel : Non !
Jacqueline : Non.
Michel : Même pas ?
Marcel Même pas.

Michel : Jacqueline, vous auriez écrit à votre fille, peu avant votre convocation chez le juge Simon : "La vie est trop courte, il faut pardonner, ta mère qui t'aime." Mais pardonner quoi ?
Jacqueline : Ben parce que je voulais qu'on se reparle, quoi. Je lui avais envoyé la lettre là, mais je suis pas allée chez le juge Simon, hein.
Michel : Ah bon ?
Michel : Jamais.
Marcel : Ah non, non.
Jacqueline : Non.
Michel : Enfin, une convocation, à priori, peut-être chez les gendarmes, ou... Enfin, peu importe.
Jacqueline : Chez les gendarmes, mais jamais chez le juge Simon.
Marcel : À Corcieux, mais pas chez Simon.
Michel : D'accord, mais enfin vous avez bien dit : "La vie est trop courte, il faut pardonner, ta mère qui t'aime."
Jacqueline : Ben voilà, oui.
Marcel : Oui.
Jacqueline : Je voulais pardonner parce que j'étais partie, voilà.
Michel : Ah oui. Votre fugue.
Marcel (Il sourit) : Voilà !
Michel : Votre fugue.
Jacqueline (Elle rit) : Je fais des gestes.

Michel : À l'époque, une expertise en écritures avait trouvé des concordances troublantes entre votre écriture, Jacqueline, et celle du corbeau.
Jacqueline : Je n'ai jamais écrit.
Michel : Vous, vous m'affirmez n'avoir jamais été un corbeau.
Jacqueline : Jamais écrit, jamais, jamais.
Michel : Droit dans les yeux.
Jacqueline : Oui, oui, oui. Droit dans les yeux, oui, oui. J'ai pas peur de le dire, hein. C'est la vérité.

Michel : En 2017, Jacqueline, vous avez tenu 48 heures en garde à vue. Vous avez gardé le silence. On vous a posé 300 questions, dont j'ai plus de chance que les gendarmes. Pourquoi ce silence ? Vous jouiez pourtant votre avenir, votre liberté. C'était quoi cette idée de garder le silence ?
Jacqueline : C'est pas moi, c'est mon avocat commis d'office qui m'a dit : "Si vous voulez, vous garder le silence."
Michel : Vous avez préféré gardé le silence ?
Jacqueline : Ben il m'a dit de le garder.
Michel : D'accord.

Michel : Quelles étaient vos relations avec Bernard Laroche.
Jacqueline : Bah, c'était le neveu à Marcel. C'était mon neveu, quoi.
Michel (À Marcel) : Vous avez grandi ensemble, hein, avec Bernard Laroche, vous, Marcel ?
Bernard Laroche, non... oui... Ma sœur est décédée quand elle l'a mis au monde. C'est mes parents qui l'ont pris, maman, qui l'a pris. On avait dix ans d'écart. Moi je suis de 45, lui il était––
Jacqueline : 55.
Marcel : De 1955. Donc il a grandi chez mes parents. Après on s'est mariés, je l'ai plus vu, hein. Si ! Je le voyais, mais moins qu'avant, naturellement.
Michel : Et puis vous habitiez l'un à côté de l'autre, en tout cas.
Marcel : Pas trop loin de l'autre, non.
Avocat : Non, pas trop loin, non.
Marcel : Mais c'est pas pour autant qu'on se voyait beaucoup, hein. On buvait des fois l'apéro et puis voilà.
Michel : Votre fille était copine avec Murielle Bolle ?
Jacqueline : Non.
Marcel : Non, pas Murielle.
Jacqueline : Pas Murielle, Isabelle.
Marcel : Isabelle.
Michel : Ah, elle était copine... pas avec Murielle ?
Jacqueline : Non.
Michel : D'accord.
Jacqueline : Isabelle. Murielle, elle la fréquentait pas.
Marcel : Puisqu'elle gardait l'enfant, hein.
Michel : Donc, vous aviez des relations de bon voisinage et de famille en réalité ?
Jacqueline : C'est de famille.
Marcel : Oui, parce que tu suis l'autre sur son tracteur, quand il faisait du bois. "Salut, ça va !" mais il arrêtait même pas.
Michel : Oui, enfin mais vous mangiez ensemble de temps en temps, vous preniez des canons, quand même un peu, non ?
Marcel : On a bu des...
Jacqueline : Des apéros, manger aussi.
Marcel : ... qu'on buvait, des fois voilà.
Michel : Pas tous les jours ?
Marcel (Marcel et Jacqueline rient) : Oh, oh, sûrement pas ! Sûrement pas !

Michel : Alors est-ce que vous avez parlé à Bernard Laroche après qu'il ait été en garde à vue pour la première fois, donc c'est le 30 octobre, je crois, et son arrestation le 5 novembre ?
Marcel : De son arrestation ? De garde à vue ?
Michel : Est-ce que vous avez parlé à Bernard Laroche entre sa garde à vue et son incarcération, en fait ?
Avocat : En 84.
Jacqueline : On l'a pas vu ?
Marcel : En prison, je l'ai pas vu.

15:00

LA SUITE À VENIR

 HISTORIQUE

2024-10-20 17:47:26 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 17:45:59 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 16:53:57 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 16:53:26 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 16:49:28 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 16:39:09 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 15:41:10 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 15:35:10 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 15:23:59 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 14:53:01 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 14:52:47 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 14:51:03 - Dana: Document mis à jour.
2024-10-20 14:49:43 - Dana: Fait ajouté.


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